Correspondance, pour l'essentiel, de Marie Nivelet avec son mari Léon Doucet, mobilisé dans le 2e escadron du train. Habitant à Petit Failly près de Longuyon (54), Mme Doucet était réfugiée à Villiers-sur-Marne (52). Léon Doucet est le grand oncle maternel de la contributrice, Mme Elise François. Quelques autres documents intéressants figurent dans la contribution, notamment la carte postale envoyée le 23 septembre 1916 par L. Jacquet qui écrit à son ami Doucet qu'il est versé dans le 83e régiment d'artillerie de l'Armée d'Orient et qu'il part pour Salonique (Grèce). Il termine ses propos par : "Ah quand finira cette maudite guerre si on en reviens, ça sera de loin". Ernest Doucet, frère de Léon Doucet et grand père de la contributrice, s'est battu sur le front italien où il a eu les pieds gelés.